« Je fus ébloui et mon âme fut ravie devant la persévérance dans l’invocation de Dieu, qui était celle du prophète ultime, Muhammad fils de ‘Abdullah, sur lui la grâce et la paix. Je pris conscience que j’étais en présence d’un art de l’invocation, incommensurable qui jamais n’eut son pareil chez les élus vertueux tout au long de l’Histoire. Le présent livre traite d’un aspect noble de la vie du prophète, sur lui la grâce et la paix, celui du rappel et de l’invocation (Dhikr/Du‘â’).
La dimension du sacré marquera la vie Hamed Abdalla, tout comme le « Folk Art », l’art figuratif naïf des gens du peuple. Son art a atteint son apogée avec des improvisations calligraphiques abstraites qui évoquent souvent une image à travers le dessin du mouvement. Puisse cet ouvrage lever le voile sur une partie de l’œuvre de l’artiste.
Décrivant les vertus de la sourate la Royauté, le Prophète (sur la grâce et la paix) a dit : « Dans le Coran, il y a une sourate qui comporte trente versets ; elle intercèdera pour celui qui en est familier jusqu’à ce que le pardon [divin] lui soit accordé. Il s’agit de la sourate : {Béni soit celui dans la main de qui est la royauté}. » Ahmad et At-Tirmidhî. Ibn Kathîr est l’un des plus éminents érudits musulmans. Doté d’une excellente maîtrise de la langue arabe et des sciences traditionnelles, son exégèse combine avec succès ijtihâd (exercice indépendant de l’interprétation) et sollicitation des de la tradition (athar).
A tous ceux qui aiment apprendre la calligraphie arabe, nous mettons a leur disposition ce cahier pour connaitre et apprendre le style Naskh. Une méthode d'apprentissage progressive avec plusieurs exemples. Les dernières pages renferment des calligraphies en noir et blanc de phrases complètes
Mettant en exergue les bienfaits de la sourate Yâ Sîn, l’Envoyé de Dieu (sur la grâce et la paix) dit : « Toute chose a un cœur, le cœur du Coran c’est la sourate Yâ-Sîn… » Ibn Kathîr est l’un des plus éminents érudits musulmans. Doté d’une excellente maîtrise de la langue arabe et des sciences traditionnelles, son exégèse combine avec succès ijtihâd (exercice indépendant de l’interprétation) et sollicitation des de la tradition (athar).
Cahier d'apprentissage de la calligraphie arabe style Diwani réalisé par le professeur salah Moussawy. La première partie présente le style, suivie d'exercices et de démonstrations, enfin un ensemble de calligraphie arabe en style Diwani complexes faites par le maitre.
L’Envoyé de Dieu (sur la grâce et la paix) a dit : « Le meilleur d’entre vous est celui qui a appris le Coran et qui le fait apprendre (à autrui). » (Al-Bukhârî). Il y a nombre de hadîth qui vantent les mérites du verset du Trône (Al-Kursiyy) dont celui-ci. On rapporte d’après Ubayy Ibn Ka‘b (Dieu l’agrée) que le Prophète (sur la grâce et la paix) l’interrogea sur le plus grand verset du Livre de Dieu. « Dieu et Son Messager le savent mieux », répondit-il. Et le Prophète (sur la grâce et la paix) d’ajouter : « C’est le verset du Trône. Que ce savoir t’apporte le bonheur, ô Abû Al-Mundhir » (Muslim)
Les prospérité d’une société repose en grande partie sur la qualité des structures familiales qui la composent. Malheureusement aujourd’hui, la cellule familiale traverse une période de crise sans précédent. Notre devoir consiste à faire de notre possible pour que notre enfant devienne un véritable serviteur de Dieu.
Faire dire la paix à la calligraphie en ces temps de démesure, c'est faire adopter au signe son rôle premier qui est l'expression du sens. Et qui mieux que Gibran peut nous conter la voie vers cette quête de sens qui mène à la paix.
La prière représente la pierre angulaire de l’Islam et son pilier majeur. Elle est une parure, une ornementation pour les gens pieux. Elle est aussi la voie de la victoire, du succès, du bonheur et de la réussite dans les deux mondes. Dieu dit : « Comblés sont les croyants, ceux qui dans leur prière témoignent d’humilité ». (23, 1, 2). L’Envoyé de Dieu (PSL) a dit : « La première chose dont l’homme devra rendre compte le jour de la résurrection c’est la prière. Si elle est valable, toute son œuvre l’est ; et si elle est défectueuse, toute son œuvre l’est ». La prière correctement accomplie est un remède contre les maladies du cœur et la dégénérescence de l’ego. C’est la lumière qui dissipe les ténèbres des pêchés et des fautes.
Le jeûne représente le quart de la foi, car le Prophète a dit : “Le jeûne est la moitié de la patience et la patience est la moitié de la foi” (Al-Bukhàrî). Il est aussi le seul acte adoratif à propos duquel Dieu dit “Tout ce que fait l’enfant d’Adam est pour lui-même hormis le jeûne, il est pour Moi et c’est Moi qui en donne la récompense. Il renonce pour Moi à son manger, à son boire et à ses désirs charnels” (Al-Bukhârî). L’auteur soulève, dans le présent ouvrage, les interrogations suivantes : Pourquoi ne tire-t-on pas aujourd’hui profit du jeûne ? Pourquoi le jeûne du Ramadan n’agit-il plus sur les pratiquants comme il agissait sur les premières générations de l’Islam qui voyaient dans le jeûne de ce mois un moment privilégié leur permettant de régénérer leur spiritualité...
Dans cette ouvrage, Salah Moussawy, donne forme aux vers du célèbre poète Omar el-Kayyem. Il esquisse de magnifique calligraphies puissant une partie du champs lexical philosophique et existentiel de ce poète.
Ibn Kathîr analyse dans son commentaire les versets coraniques en général, d’un point de vue grammatical et lexicographique, mais se livre également à des déductions dogmatiques, théologiques et juridiques du texte coranique. De même, il ne manque pas d’exposer ses propres croyances dogmatiques qui s’inscrivent dans le cadre du Sunnisme. Enfin, il ne se prive pas de se référer et d’utiliser plusieurs commentaires complets et plus anciens.
« Je suis redevable aux femmes de tout, depuis mon enfance. La femme a ouvert Les fenêtres de mes yeux et les portes de mon âme. Sans la femme mère, La femme- soeur et la femme amie, je serais resté endormi parmi ceux qui cherchent la tranquillité du monde en ronflant » (Lettres à May Ziadah)
L’istighfâr dérive de ghafara qui veut dire couvrir, cacher. Ghafara désigne ainsi le fait de pardonner les péchés en les couvrant de manière à ce qu’ils soient cachés. L’istighfâr consiste à demander le pardon par le verbe et par l’acte. Selon les doctes, l’istighfâr englobe quatre significations : le regret du méfait dans le coeur, la rupture avec le péché, la ferme détermination de ne plus recommencer, la réparation du dommage causé à autrui. L’istighfâr est le signe que le coeur est vivant, qu’il ressent la douleur que produit le péché. L’istighfâr permet l’obtention de la Maghfira, laquelle veut dire recouvrement (sitr) et le fait de recouvrir et de reprocher au serviteur, et de ne pas sanctionner ce dernier.
Ce livre est un heureux mariage entre la poète et le calligraphe et un voyage dans le cœur même de la poésie et la réflexion de Gibran et l'œil créatif et inventif de Salah Moussawy.
Plusieurs siècles d’histoire, allant du cartésianisme à la laïcité, en passant par les Lumières, ont permis de forger au cours du temps un esprit nouveau, qui s’est caractérisé par l’antagonisme de la foi et de la raison, de la science et de la religion, ou encore des pouvoirs spirituel et temporel. Dans le cadre de la modernité, se sont imposés à la conscience humaine des concepts irréductibles dont la fonction est de souligner l’opposition qui s’inscrit entre le passé et les promesses du futur. Quoi de plus naturel que de rejeter le fanatisme et l’intégrisme...
Découvrir et pratiquer l’art de la calligraphie arabe par une pédagogie claire et accessible à tous est l’objectif de cet ouvrage. Tous les styles de calligraphie arabe : Roq'a, le Coufique, le Thuluth, le Diwani, le Farisi et beaucoup d'autres sont expliqués. La dernière partie de l'ouvrage comme une galerie, présente des œuvres complètes en couleur.
Trois genres littéraires joueront un rôle important dans le tawhid en tant que science religieuse : – l’exposé des articles de foi qui demandent adhésion (kutub al-‘aqâ’id) ; – les livres d’hérésiographie (kutub al-firaq) qui recensent les sectes et leurs erreurs ; – les livres de polémique (kutub al-kalâm).
La ‘Aqîda Tahâwiyya appartient au premier genre. S’y trouvent condensés, en formules plus ou moins brèves, les principaux dogmes de la foi de l’Islam sunnite majoritaire qui se situe par rapport aux sectes aberrantes...
Les voyages de celui dont Verlaine a parlé comme de « l’homme aux semelles de vent » peuvent en effet donner le vertige. Mais ce vertige de l’espace, c’est lui principalement qui l’a éprouvé
Les histoires simples et attrayantes présentées dans cette série ont pour but de mettre en lumière les vertus et les valeurs qui donnent un sens profond à la vie. Après avoir appris à Zaïd tous les secrets de la pêche, son père lui lègue sa vieille barque en lui recommandant d’être toujours modeste, généreux et reconnaissant envers Dieu s’il veut avoir une vie heureuse. Zaïd saura-t-il tenir sa promesse ?
Dans ce livre, nous découvrons de magnifiques vers du poète mystique Rumî exprimant l’amour, le désir et la tolérance et des calligraphies superbement réalisées par le professeur S.Moussawy.
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