Le cheminement spirituel passe d’abord par l’accomplissement assidu et fidèle des pratiques cultuelles. Cet excellent ouvrage traite de la place de l’éducation spirituelle en islam, des différentes étapes de la purification de l’âme, du cheminement, ses conditions et ses étapes et des fruits de la purification de l’âme.
L’auteur nous rappelle que « ceux qui tentent de définir l’amour de Dieu et de Son prophète ne font qu’en évoquer les causes et les effets, les propriétés, les manifestations et les principes. » L’amour de Dieu est une des exigences de la foi ; celle-ci ne peut parvenir à sa plénitude sans l’amour de Dieu et de Son Messager.
La prière est apaisement et sérénité pour celui qui s’y soumet, bonheur et joie pour celui qui porte la foi, lumière et cheminement pour celui qui recherche la proximité divine. L’objectif de cet ouvrage est de combler un vide important et d’apporter une contribution à la connaissance et à la compréhension de ce pilier de l’Islam.
L’imam Nawawî, à travers le recueil des Quarante hadiths, a voulu donner une image globale des enseignements de notre Prophète sur l’Islam et ses composantes essentielles (foi, éthique et grands principes juridiques). Il a fait un choix grandement judicieux de ces quarante-deux hadiths parmi des dizaines de milliers d’autres.
Ce livre est un voyage sur les traces de comportements rares provenant de femmes et d’hommes qui ont voué leur vie à l’adoration de Dieu. Des actions de générosité, d’abnégation, d’humilité et de vertu, qui reflètent la spiritualité profonde et sans faille dont ont fait preuve les Compagnons du Prophète (psl) ainsi que les pieux anciens, que Dieu soif Satisfait d’eux tous.
A travers l’étude de ce thème, l’auteur espère nous guider vers la lumière du Coran, nous aider à trouver refuge auprès de Dieu et nous maintenir sur la voie juste, la voie des patients et des endurants.
Les savants musulmans ont intégré l’éthique dans toutes leurs études. Certains savants soufis sont allés jusqu’à prétendre que la spiritualité islamique se réduit tout entière à l’éthique. Ibn al-Qayyîm n’a-t-il d’ailleurs pas dit dans ce sens : « La religion est l’éthique même et celui qui a plus de sens moral que toi est bien plus religieux que toi. »
La confiance en Dieu (at-tawakkul) est l’une des conditions de la réalisation complète de la foi au Très-Haut. C’est la représentation concrète de la foi dans la vie, et l’une des meilleures expressions des coeurs.
Ce livre s’adresse à des gens ordinaires, non experts, et à tous ceux qui recherchent le Coran, dans le désir d’apprendre, de saisir et de vivre selon ses prescriptions.
L’objectif de cet ouvrage est d’annoncer aux croyants les délices du Paradis que Dieu leur a préparés. L’auteur nous fait une description du Paradis et de ses habitants.
Cet ouvrage comprend la traduction des Sagesses, des Epîtres et des Entretiens intimes d’Ibn ‘Atâ’i-Llâh. Le tout est accompagné de commentaires suffisamment explicites pour en donner un éclairage utile, mais volontairement restreints pour ne pas trahir la vocation première de ces paroles, qui nous invitent à suivre le cheminement d’une méditation profonde, purifiante et nourrissant notre coeur.
La majorité des musulmans sont souvent démunis et ne savent pas comment se comporter lorsque surgissent ces épreuves majeures. L’ouvrage a pour objectif d’aider à y faire face, spirituellement d’abord mais aussi matériellement par des renseignements pratiques.
Les “Hikam” sont le recueil auquel peut se référer chaque itinérant et aspirants, tant pour la compréhension, que pour l’assiduité aux préceptes. Assurément, il est petit par son volume, grand par sa science.
Violence et terrorisme, guerre et extrémisme, barbarie et châtiments… à travers l’actualité, ces noms semblent liés aujourd’hui de façon inéluctable au monde musulman. Le but de cet ouvrage est simplement de présenter l’islam tel qu’il est en réalité – un Message de fraternité humaine, d’amour et de miséricorde – en revenant à ses sources authentiques, c’est-à-dire au Coran et à la vie du Prophète Muhammad.
Si l’on a appelé la réparation de la faute commise kaffâra, c’est parce que celle-ci “couvre” la faute du fidèle, à titre d’allègement divin. Quant au mot kaffâraau point de vue de la terminologie islamique, il désigne l’action d’effacer une faute commise en procédant à une aumône, un jeûne ou autres, selon des modalités spécifiques.
Le principe de l’expiation trouve son fondement légal dans le Coran et la Sunna. Quant à la raison d’être de l’expiation, elle est de corriger l’erreur commise par le fidèle et rectifier les effets néfastes qu’elle produit sur lui et sur autrui. L’expiation est, au sens large du terme, une façon de compenser une perte occasionnée, réparer une faute commise ou un dommage subi et ouvrir la porte du pardon divin.
L’islam est venu réformer les âmes, les purifier et les élever jusqu’au plus haut degré d’excellence qu’il leur est possible d’atteindre. Il a découvert à l’humanité tout entière l’objectif ultime et l’a incitée à cheminer vers l’idéal suprême, savoir la Sainte Présence de Dieu (Quds al-hadra), le digne de Majesté, le Sublime. A ce propos, Dieu dit : « Fuyez donc vers Dieu. Je suis pour vous, de Sa part, un avertisseur explicite » (Celles qui éparpillent, 50)....
L’Espoir et la Crainte sont les deux ailes qui permettent aux rapprochés de Dieu de prendre leur essor jusqu’aux stations sublimes. Elles sont pareilles à deux montures qui permettent de franchir les voies menant à l’au-delà et de passer tout obstacle difficile et épineux. Car seules les brides de l’espérance conduisent vers la proximité du Tout-Miséricordieux et les félicités du Paradis, bien qu’il s’agisse d’une voie longue et ardue, semée d’embûches pour le cœur et d’écueils pour les sens et les organes. De même, rien de tel pour parer au Feu de la Géhenne, lieu des plus atroces souffrances, bien qu’il soit pavé de désirs agréables et de plaisirs merveilleux, que les fouets de l’intimidation et les assauts de la réprimande.
L’istighfâr dérive de ghafara qui veut dire couvrir, cacher. Ghafara désigne ainsi le fait de pardonner les péchés en les couvrant de manière à ce qu’ils soient cachés. L’istighfâr consiste à demander le pardon par le verbe et par l’acte. Selon les doctes, l’istighfâr englobe quatre significations : le regret du méfait dans le coeur, la rupture avec le péché, la ferme détermination de ne plus recommencer, la réparation du dommage causé à autrui. L’istighfâr est le signe que le coeur est vivant, qu’il ressent la douleur que produit le péché. L’istighfâr permet l’obtention de la Maghfira, laquelle veut dire recouvrement (sitr) et le fait de recouvrir et de reprocher au serviteur, et de ne pas sanctionner ce dernier.
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