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Le livre "La reconnaissance envers les parents" de Sulayman Ar-Ruhayli met en lumière l'importance de la bienfaisance et de la reconnaissance envers les parents dans l'Islam. L'auteur explique que cette obligation est l'une des plus grandes de la religion et que la vertu des parents est inestimable. Les droits des parents sont liés au monothéisme du Seigneur de l'univers, ce qui souligne l'importance de cette obligation pour chaque Musulman. Ce livre s'adresse à tous les croyants désireux d'approfondir leur compréhension de cette obligation fondamentale de l'Islam.

 "Le Droit et la Finance Islamiques : Entre la théorie et la pratique", de Dr. Halim Hassoun offre une exploration approfondie et accessible de la finance islamique. Il décrit les principes, les règles et la jurisprudence sous-jacents de ce domaine en pleine croissance, en comparant ses différences avec la finance conventionnelle. L'ouvrage offre une perspective claire, scientifique et pragmatique, soutenue par des exemples concrets tirés de l'actualité économique mondiale. Un guide essentiel pour comprendre la finance islamique, son rôle en tant qu'alternative éthique, et son impact sur la scène économique internationale.

Le poème al-Hâ'iyah, rédigé par l'éminent hâfiz Ibn Abî Dâwûd as-Sijistani, est parmi les premiers traitant de la croyance. Utilisé par les savants pour contrer les innovateurs, il est hautement estimé par les Gens de la Sunnah. Il éclaire leur croyance, démontrant la grandeur de son auteur, la profondeur de sa connaissance, et son conseil sincère. Ce poème a été largement expliqué par de nombreux savants, dont le Dr. Sâlih Ibn Fawzân Al-Fawzân, soulignant son rôle dans la préservation de la croyance authentique.

Le Prophète a dit : « La foi consiste à croire en Dieu, en Ses anges, en Ses Livres, en Ses Messagers, au Jour dernier, ainsi qu’au Destin et ce qu’il comporte de bonheur et de malheur ».

Le Prophète a dit : « La foi consiste à croire en Dieu, en Ses anges, en Ses Livres, en Ses Messagers, au Jour dernier, ainsi qu’au Destin et ce qu’il comporte de bonheur et de malheur ».

Le Prophète a dit : « La foi consiste à croire en Dieu, en Ses anges, en Ses Livres, en Ses Messagers, au Jour dernier, ainsi qu’au Destin et ce qu’il comporte de bonheur et de malheur ».
Dans ce quatrième livre de la série « Les piliers de la foi », l’auteur nous parle de la mort, de la vie après la mort et décrit le Jour de la Résurrection où les êtres humains seront ramenés à la vie pour être récompensés de leur action dans la vie d’ici-bas.
 
Nous appelons notre nouvelle vie, qui commence après que nous ayons fermé les yeux à jamais et que la mort nous emporte, la vie de l’au-delà.

CROIRE AUX MESSAGERS ET AUX LIVRES
Le Prophète a dit : « La foi consiste à croire en Dieu, en Ses anges, en Ses Livres, en Ses Messagers, au Jour dernier, ainsi qu’au Destin et ce qu’il comporte de bonheur et de malheur ».
Dans ce troisième livre de la série « Les piliers de la foi », l’auteur nous fait explorer l’univers des Messagers de Dieu et des Livres.
Les gens qui traversent cette vie avec toutes ses difficultés ont besoin d’un guide qui leur montre la voie. C’est pour cette raison que Dieu Tout-Puissant a envoyé, à travers les âges, aux différentes communautés qui vivent dans ce monde, des Prophètes qui leur indiquent le chemin à suivre.
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Le Prophète a dit : « La foi consiste à croire en Dieu, en Ses anges, en Ses Livres, en Ses Messagers, au Jour dernier, ainsi qu’au Destin et ce qu’il comporte de bonheur et de malheur ».
Dans ce deuxième  livre de la série « Les piliers de la foi », l’auteur nous fait découvrir le monde mystérieux des anges.

Un jour, l’ange Jibrîl est venu voir le Messager de Dieu () et lui a demandé :
-Explique-moi ce que c’est al-îmân (la foi).
Le Prophète () a répondu : « C’est de croire en Dieu, en Ses anges, en Ses Livres, en Ses envoyés, au Jour dernier, et de croire au Destin, bon ou mauvais. »
L’ange Jibrîl lui a dit : « Tu as dit vrai. »...

Ce livre, "Les derniers jours du Prophète Muhammad" par Abderrazaq Mahri, explore la disparition du prophète Muhammad (paix et salut sur lui), un événement perçu comme une calamité irréparable. Il rappelle la mort du Prophète et les signes qui l'ont précédée, tirant son contenu des recueils de hadiths et des commentaires des érudits anciens et modernes.

Les savants musulmans divergent quant à la définition du péché majeur (kabîra) et à sa distinction du péché véniel (saghîra). Cependant, la majorité d’entre eux disent que toute désobéissance qui appelle une peine (hadd) ou dont l’auteur encourt le châtiment de l’Enfer, la malédiction ou le courroux de Dieu, est un grand péché.
Abû Hâmid al-Ghazâlî dit à ce sujet : « Lorsque l’homme commet, sans éprouver ni crainte ni regret, un délit, en faisant preuve d’insouciance et d’audace, il est coupable d’un grand péché. Quant à la faute qui procède des écarts de langage, des erreurs de l’ego et du relâchement de la vigilance, et à laquelle se mêle un remords empêchant l’homme de jouir de son délit, elle n’est pas considérée comme un péché majeur. »