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Révélation des énigmes des drogues et plantes

L'éducation est un aspect important dans notre religion, pour ne pas dire le plus important ; elle est le fondement, la base même sur laquelle notre communauté va se reposer pour se constituer et se reconstituer, par la transmission de nos valeurs et nos principes aux générations à venir.

Aperçu de la méditation en islam dont les deux sources fondamentales sont le Coran et la tradition prophétique (Sunna). Avec des exemples de méditations faites en 1977 et 1978 par l'auteur sur divers sujets : Dieu, le Coran, l'homme et la société, la purification...

La mort, la tombe, la vie après la mort, la résurrection, le jugement dernier, le paradis, l’enfer, les signes de la fin du monde

L'auteur, Shams ad-dîn Muhammad Ibn Ahmed Ibn Uthmân le shâfiite, est connu sous le nom de Dhahabî. Il est né à Damas en l'an 673 hégire (1274 JC). Il a suivi l'enseignement d'illustres savants du Shâm (grande Syrie), d'Egypte et du Hijâz..

<< Ils t’interrogent (ô Muhammad, qu’Allah le bénisse et le salue) au sujet de l’Heure : « Quand va-t-elle jeter l’ancre ? Quelle [science] en as-tu pour le leur dire ? Son terme n’est connu que de ton Seigneur ». Tu (ô Muhammad, qu’Allah le bénisse et le salue) n’es que l’avertisseur de celui qui la redoute. Le jour où ils la verront, il leur semblera n’avoir demeuré qu’un soir ou un matin. >> (Coran S79, V42-46)

Avec près de deux mille cinq cents articles, les « Merveilles de l’interprétation des rêves » donnent au lecteur des clefs pour la compréhension du vaste monde qu’est celui du rêve...

Abou Ja’far Mohammad ibn Jarîr Ibn Yazid Tabarî est le premier musulman qui ait composé une chronique générale. Né en 224 de l’Hégire (838-839 ap. J.C.) il passa la plus grande partie de sa vie à Bagdad.
Quelques années avant sa mort, il composa sa volumineuse chronique, qui embrasse l’histoire du monde depuis la création jusqu’à l’an 302 de l’Hégire. Cet ouvrage acquit de bonne heure une grande réputation dans le monde musulman. Vers 352 de l’Hégire (963 ap. J.C.).

De l’apport des arabes en particulier et des musulmans en général à la civilisation, on ne dit encore aujourd’hui que peu de chose. Si les intellectuels leur reconnaissant un rôle, il est souvent minimisé, et le citoyen lambda reste grandement ignorant de ce millénaire où la langue arabe était la langue de la civilisation, et l’islam le lien entre ces hommes qui ont dominé le monde des sciences et des lettres.
Mathématiques, astronomie, physique, chimie, médecine, littérature, et bien d’autres furent développées avec ardeur par des hommes tel qu’Averroès, al-Khawarizmi ou encore Avicenne. Cette histoire mal aimée jusqu’à nos jours, Gustave le Bon l’a consacrée dès 1900 avec « La civilisation des arabes »...

La tradition « orientaliste » des savants arabisants français, qui avaient accompagné l’entreprise coloniale au XIXe siècle, a progressivement laissé la place au XXe siècle à une génération de chercheurs résolument anticolonialistes, à l’image de Maxime Rodinson, Charles-André Julien, Jacques Berque ou Charles-Robert Ageron. Il revient aujourd’hui à leurs héritiers d’éclairer l’apparition, dans la période postcoloniale, d’un « islam politique » qui cristallise une très profonde défiance. C’est ce à quoi s’emploie François Burgat dans cet ouvrage, en replaçant ses analyses dans le parcours personnel qui les a nourries et l’environnement scientifique qui les a accueillies.

Sommaire


LE CULTE DU NOMBRE
LA GESTION DE L'AGE INDUSTRIEL ET SCIENTIFIQUE
L'EMERGENCE DU PARADIGME TECHNO-INFORMATIONNEL
SCENARIOS POSTINDUSTRIELS
LES POLITIQUES PUBLIQUES A L'EPREUVE DU LIBRE-ECHANGE
LES ENJEUX GEO-POLITIQUES DE L'ARCHITECTURE RETICULAIRE

A l'image de l'économie industrielle fondée en France vers 1820. au moment de l'avènement de la grande industrie, l'économie de la connaissance en tant que discipline se développe quand se mettent progressivement en place les économies fondées sur ce concept...