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Dans cet ouvrage, Ibn Hazm suit le même chemin, celui des savants prédicateurs qui s’intéressent à l’éducation et à la réforme des âmes. Et ils sont nombreux.

Le Saint Coran est le meilleur des remèdes, c’est la parole du Dieu de l’Univers qui lie les sujets à leur Créateur, plusieurs textes religieux ont prouvé qu’il constitue un remède efficace de tous les maux de l’âme et du corps, si l’on a la foi et la patience.
De plus, plusieurs exemples pratique depuis l’époque du prophète jusqu’à nos jours ont démontré le bienfait de ce remède ayant conduit à la guérison de différents types de maladies que l’on croyait incurables.
Cet ouvrage met la lumière sur les pauvres et les règles de ce remède de personnes qu’Allah a guéries et guidées grâce au Coran.

L’histoire de l’islam (en 3 volumes)
Rares sont ceux aujourd’hui en occident qui ont une vision globale de l’histoire de l’islam. Or, lorsque l’on veut s’instruire sur ce sujet en langue française, force est de constater que l’offre est très insuffisante chez les éditeurs musulmans. Certains sont alors incités à se tourner vers des ouvrages composés par des gens n’ayant pas de lien avec cette civilisation, c’est-à-dire écrits par des occidentaux qui, trop souvent, volontairement ou non, donnent une vision biaisée ou erronée des événements, avancent des interprétations abusives, ou laissent transparaître dans leur propos de la déconsidération voire du mépris et de l’arrogance.

Cet ouvrage fait suite au troisième congrès des chercheurs sur l’islam organisé par l’IIIT France à l’UNESCO en juin 2004. Initialement, cet ouvrage a voulu réunir des chercheurs de différentes disciplines des sciences sociales et des sciences religieuses ou patrimoniales islamiques afin de proposer une approche inédite plus complexe : un « regard croisé » du fait islamique sur la modernité et de la modernité sur l’islam. Les textes présentés ici tentent de répondre aux questionnements sur l’apport de la pensée islamique à la critique de la modernité, et vice versa et sur la nécessité d’engager davantage le débat sur la modernité entre chercheurs musulmans et non musulmans.