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Dans cet ouvrage, Ibn Hazm suit le même chemin, celui des savants prédicateurs qui s’intéressent à l’éducation et à la réforme des âmes. Et ils sont nombreux.

Le Saint Coran est le meilleur des remèdes, c’est la parole du Dieu de l’Univers qui lie les sujets à leur Créateur, plusieurs textes religieux ont prouvé qu’il constitue un remède efficace de tous les maux de l’âme et du corps, si l’on a la foi et la patience.
De plus, plusieurs exemples pratique depuis l’époque du prophète jusqu’à nos jours ont démontré le bienfait de ce remède ayant conduit à la guérison de différents types de maladies que l’on croyait incurables.
Cet ouvrage met la lumière sur les pauvres et les règles de ce remède de personnes qu’Allah a guéries et guidées grâce au Coran.

Cet ouvrage fait suite au troisième congrès des chercheurs sur l’islam organisé par l’IIIT France à l’UNESCO en juin 2004. Initialement, cet ouvrage a voulu réunir des chercheurs de différentes disciplines des sciences sociales et des sciences religieuses ou patrimoniales islamiques afin de proposer une approche inédite plus complexe : un « regard croisé » du fait islamique sur la modernité et de la modernité sur l’islam. Les textes présentés ici tentent de répondre aux questionnements sur l’apport de la pensée islamique à la critique de la modernité, et vice versa et sur la nécessité d’engager davantage le débat sur la modernité entre chercheurs musulmans et non musulmans.

Le premier plan de séparation de la Palestine historique en deux États, l’un pour les Juifs et l’autre pour les Arabes, date de… 1937. Trois quarts de siècle plus tard, on n’est pas plus avancé : malgré les résolutions de l’ONU, les innombrables cycles de négociations, les mille et une missions de diplomates américains, sans compter toutes les souffrances et le sang versé, aucune « solution » n’est en vue du côté des deux États. Ce n’est pas par hasard, montrent Hazan et Sivan dans ce livre : c’est que la partition n’est tout simplement pas possible : un vrai État palestinien n’est pas possible, et un État hébreu viable à long terme non plus.