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Le livre des conseils – Pend-Namèh, de Farîd -ud-dîn Attar,
Reconnais que tous les mortels sont plongés dans un sommeil profond : il n’y a de véritablement éveillé que celui qui est sorti de ce monde. Reçois les excuses de l’homme qui t’a offensé : garde-toi d’en tirer vengeance, afin que tu trouves miséricorde auprès du Seigneur. Quiconque blesse un cœur par son injustice, ne fait de blessure qu’à lui-même ; les gémissements seront la récompense de l’homme qui se plaît à vexer ses semblables. Celui qui n’enchaîne point sa langue et ne lui interdit pas la médisance, ne sera point à l’abri des châtiments et des regrets.

Cet excellent ouvrage permet de montrer et de démontrer si cela était nécessaire que le soufisme n’est pas étranger ou surajouter à l’islam mais bien au contraire, il prend tout entier corps à la source du Coran et de la traduction prophétique ou Sounna. Au fur et à mesure de la lecture nous découvrons comment les soufis sont par leur attachement au livre d’Allah et au comportement aussi bien intérieur qu’extérieur de l’envoyé de Dieu, non pas comme on les accuse si souvent injustement des gens de l’innovation ou bid’a, mais ceux qui suivent le plus scrupuleusement les enseignement de l’Islam...

Océans de sagesse Paroles d’un maître Soufi
Cet ouvrage parle de l’Un-Allah – et de ce que l’humanité doit savoir à Son sujet. Il montre le chemin qui permet d’atteindre à notre époque sur ce chemin. Pour celui qui cherche, ces causeries seront comme des perles inestimables…

Cet ouvrage fait suite au troisième congrès des chercheurs sur l’islam organisé par l’IIIT France à l’UNESCO en juin 2004. Initialement, cet ouvrage a voulu réunir des chercheurs de différentes disciplines des sciences sociales et des sciences religieuses ou patrimoniales islamiques afin de proposer une approche inédite plus complexe : un « regard croisé » du fait islamique sur la modernité et de la modernité sur l’islam. Les textes présentés ici tentent de répondre aux questionnements sur l’apport de la pensée islamique à la critique de la modernité, et vice versa et sur la nécessité d’engager davantage le débat sur la modernité entre chercheurs musulmans et non musulmans.