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Un préambule à l’Histoire musulmane, de Imâd Eddine Khalîl
L’Histoire ne se résume pas, comme le pensent certains, à des guerres ou à des traités, ou encore à des dynasties régnantes qui se succèdent… Elle est avant tout une expérience civilisationnelle, un projet de coopération humaine, une occasion de vérifier les capacités des philosophies et des religions de s’accomplir dans l’espace et dans le temps et de consolider leur liens.

La révolution d’un calife Omar Ibn Abdelaziz
Le lecteur va découvrir à travers le calife Omar Ibn Abdelaziz, un personnage marquant, épris de justice sociale et d’ouverture sur l’autre. soucieux du dialogue et pourfendeur du népotisme, de la corruption et de la relégation de la spiritualité à un rôle secondaire et purement utilitariste. Maux largement incarnés par ses prédécesseurs Omeyyades.
Un calife qui a su donner à la morale musulmane son véritable sens, dans un contexte difficile, à bien des égards…

La présence musulmane en terre gauloise reste une des pages les plus mal connues de l’histoire de la France médiévale. Pire encore, la mémoire collective n’a retenu de cette présence que le volet conflictuel. Ou plutôt elle n’a retenu qu’un seul élément : la bataille de Poitiers.
Peut-on résumer la présence musulmane en terre gauloise en une à un seul événement ? Peut-on réduire une présence qui a duré des siècles en une seule bataille que les historiens postérieurs lui ont donné des proportions démesurées ?

Violence : Sources et repères, ce qu’en dit l’Islam
La religion a pour finalité d établir la paix, la concorde sociale et le bien-être des humains. L islam s inscrit dans cette mission et œuvre pour le bien commun de tous pour sauvegarder la dignité humaine en considérant que tous les humains sont frères et sœurs, ils sont tous issus d Adam et d Ève.

L’ère du progrès et du profit technologique a fini par transformer les citoyens que nous sommes en de simples consommateurs-spectateurs.
La mondialisation, avec comme corollaire l’enchevêtrement des humains et des cultures, a refaçonné la physionomie de nos sociétés en métamorphose. Ce phénomène de mutation accentué par des conditions psychologiques, sociales, économiques défavorables, rend encore plus complexe la volonté de construire une société humaine ouverte, respectueuse de ses différents points de vue et unie sur l’essentiel.

A qui s’adressait l’imam Hassan Al Banna à travers ces vingt principes? Dans quel but? En élaborant ces vingt principes, l’imam Al Banna visait essentiellement deux catégories d’individus: A. Les militants: Chaque mouvance musulmane a besoin de liens qui unissent ses membres. Ces liens sont au nombre de trois: 1- Le lien sentimental: Ce lien est exprimé par la fraternité et l’amour en Dieu… 2- Le lien structurel: Ce lien établit la liaison entre le militant de base et le commandement… 3- Le lien intellectuel: Ce lien crée la communication entre les membres d’un même mouvement, dans un cadre de pensée commune…

Simplification des règles des actes cultuels, de Cheikh Fayçal Mawlawi (2ème édition)
Ce livre référence est une méthodologie particulière de présentation du fiqh des actes cultuels (La Prière, Le Jeûne, La Zakat et Le Pèlerinage), qui se repose sur :
- Le retour au Coran et à la Sunna, dans la mesure du possible, pour que les prescriptions juridiques restent liées à leur source principale, et pour permettre à toute personne désireuse de se tenir à l’argument « dalil » de se référer à ce livre.
- La citation des principaux avis relatifs à la question sujette à la divergence, en adoptant l’un des avis lorsqu’il est appuyé par un argument explicite. Puis, l’évocation des autres avis en cours de l’explication ou en note de bas de page.

L’Apport des Musulmans à la Civilisation Humaine tome 1 – Dr.Ragheb Elsergany Le Docteur Ragheb Elsergany est né en Égypte en 1964. Il est diplômé de la Faculté de Médecine du Caire. Il a achevé la mémorisation du Coran en 1991. Il a ensuite obtenu le Magister à l’université du Caire en 1992, puis soutenu en 1998 une thèse de doctorat sur la chirurgie des voies urinaires, sous la direction conjointe de professeurs égyptiens et américains.

Pendant l’enfance ou à un autre moment dans la vie, viennent à l’esprit des questions sur nombreux sujets tels que par exemple : qui est Dieu et où est-Il ? A-t-on besoin des Écritures divines et pourquoi le Coran n’a-t-il pas été révélé complétement en une seule fois ? Pourquoi la création de l’univers et de la race humaine ? Pourquoi les riches et les pauvres ? Et nos pensées, au fil de leurs divagations, s’attardent sur des sujets tels que la vie et la mort, la joie et la tristesse, le bien et le mal, le vin et le jeu de hasard, etc.

Nour et Saladin avaient les yeux rivés sur une plaque de rue indiquant « Rue de la Lyre ». Ils se regardèrent de nouveau et poussèrent ensemble un cri de stupéfaction. Où sommes-nous Saladin ? s’inquiéta Nour. Cette rue ressemble à Paris mais… Regarde derrière toi, on dirait une mosquée flanquée d’une croix...
En liant des noms de rue à leur histoire, nous rétablissons le lien entre présent et passé. Nour et Saladin vont vivre ces événements qui, pour la majorité, renvoient à un siècle bien particulier : le 19e siècle. Nour doit remonter le temps pour remonter sa propre histoire et retrouver celui qu’elle cherche, aidée en cela par Saladin évidemment !

Les Séparatistes ! Le cri du coeur d'un Français musulman
Les séparatistes est une épître qui, loin de toute polémique, est un cri du cœur. Celui d'un Français musulman né en France et qui n'a jamais renié ni son pays de naissance ni sa foi musulmane. La République avait, jusqu'alors, réussi à garantir la liberté d'expression et de culte et surtout la liberté d'opinion. Mais la digue républicaine a volé en éclat sous les coups de boute des extrémismes en tous genres. Le séparatisme est avant tout né du rejet systématique de l'autre. Nous n'avons pas réussi à construire une société qui accepte l'altérité.

C'est nous, les prédicateurs de l'islam, qui devons être blâmés car nous ne connaissons ni la nature de l'époque dans laquelle nous vivons, ni la logique qui convainc nos contemporains, ni les doutes qui sont apparus avec la civilisation actuelle ! Certains d'entre nous vivent peut-être avec un retard de cent ans sur leur époque. Ils s en prennent à des groupes qui ont disparu. Ils débattent de questions qui ont été oubliées mais sur lesquelles les gens aiment entendre parler sérieusement et non sur le ton de la plaisanterie. L'islam n'use pas de telles manières. L'islam est réellement une grande religion qui met les Hommes en communication avec leur Seigneur par la seule voie honorable : la voie de la raison ouverte, de la logique bienveillante et de la controverse bénéfique.

L’islam est réellement une grande religion qui met les Hommes en communication avec leur Seigneur par la seule voie honorable : la voie de la raison ouverte, de la logique bienveillante et de la controverse bénéfique.

Les vices de l'âme qui naissent des passions, en particulier, tirent leur source de l'attrait qu'exerce la vie d'ici-bas sur l'âme. Ces passions auraient très bien pu être sans conséquence si elles n'étaient pas attisées par le Malin démon, celui-là même qui jura d'égarer la progéniture d'Adam. Lyess Chacal, en s'appuyant, pour ce faire, sur la pensée d'Abu Hamid al Gazali (1058-1111) célèbre penseur et théologien qui rédigea, entre autres, son non moins célèbre Ihya' 'ulúm al din (Revivification des sciences de la religion), expose comment ici-bas et démon forment un "couple" redoutable pour tromper l'homme et le pousser à s'illusionner quant à la réalité de la vie d'ici-bas.

Les vices de l'âme sont légion. Et pourtant, leur connaissance s'impose pour qui veut gagner la félicité éternelle et ne pas s'exposer à un châtiment douloureux. C'est en substance ce que considère Abu Hamid al Ghazali (1058-1111) célèbre penseur et théologien qui rédigea, entre autres, son non moins célèbre Ihya' 'ulúm al din (Revivification des sciences de la religion) et dans lequel al Ghazali a consacré un traité entier à la condamnation du jah ou comment chercher la reconnaissance d'autrui plutôt que la reconnaissance divine.  

Après l'orgueil (kibr), l'ostentation (riya') eût un autre des vices de l'âme condamnés par l'islam. Il y occupe une place singulière en ce sens que la dévotion empreinte d'hypocrisie exclut du cercle des croyants toute personne qui s'y adonnerait. C'est du moins le jugement d'Abú Hamid al Ghazali (1058-1111) célèbre penseur et théologien qui rédigea, entre autres, son non moins célèbre lhya' 'ulúm al din (Revivification des sciences de la religion) et dans lequel al Ghazali a consacré un Traité entier à la condamnation de l'ostentation (riya').

Si, l'orgueil est le vice le plus connu et le plus condamné par les différentes Traditions religieuses monothéistes, il est aussi le vice le plus répandu. La Tradition islamique est riche d'écrits en tous genres sur ce sujet et l'auteur a ici fait le choix de s'intéresser plus particulièrement à la pensée d'Abu Hamid al Ghazali qui rédigea, entre autres, son non moins célèbre lhya' 'ulum al din (Revivification des sciences de la religion) et dans lequel al Ghazali a consacré un traité entier à la condamnation de l'orgueil (kibr) et de l'infatuation ('ujb).

Pendant l'enfance ou à un autre moment dans la vie, viennent à l'esprit des questions sur nombreux sujets tels que par exemple : qui est Dieu et où est-Il ? A-t-on besoin des Écritures divines et pourquoi le Coran n'a-t-il pas été révélé complètement en une seule fois ?...Dans ce livre sont rassemblés un grand nombre de questions et sujets de ce genre. Les réponses et les éclaircissements y sont donnés à partir du Coran, et uniquement du Coran.