Ibn Badis est un érudit pluridisciplinaire, un exégète, un traditionaliste, un jurisconsulte… mais ce n’est pas un théologien comme les autres. Éclairé, visionnaire et influent, il est l’un des pères du nationalisme algérien et surtout celui qui a semé la graine de la révolution contre le système colonial français. En effet, son rôle dans la prise de conscience par le peuple algérien de son identité a été décisif dans le chemin qui mènera l’Algérie vers l’indépendance en 1962. C’est lui qui a initié le courant réformiste en Algérie en appelant à la nécessité de s’appuyer sur les vrais piliers, à savoir le Saint Coran et la sunna bien sûr, mais aussi la liberté, le savoir et la science…
Au tournant du VIIIE siècle de l’hégire l’empire mamelouk (XIVe siècle de l’ère chrétienne), est attaqué de toutes parts. Bien que les hordes tatares sous l’autorité de l’Ilkhan Ghazan (m. 703 h.) furent définitivement repoussées par les armées Musulmanes en 702 h. à la bataille de Marj as-Suffar, les survivants de l’occupation chrétienne de la Terre Sainte, repliés sur l’île de Chypre, vindicatifs, mènent une campagne de harcèlement maritime. Ils attaquent les zones portuaires des terres musulmanes de nuit pour s’emparer de prisonniers, espérant tirer d’eux des rançons. En effet, cette ile servait de base avancée aux forces chrétiennes de différentes origines pour s’en prendre aux populations Musulmanes...
Au cours de l’histoire, nombreux furent les champions, les héros, les conquérants dont le nom reste gravé à jamais. On vante leurs exploits et leurs hauts faits d’armes, mais la plupart sont aussi des hommes cruels, sanguinaires et sans merci. Rares furent les conquérants magnanimes, sages, indulgents, pieux… Parmi ceux qui répondent à cette description, il y a l’un des champions de l’Islam, l’un des plus valeureux héros que l’Islam ait connu. Salâh Ad-Dîn Al-Ayyûbî, le Roi Victorieux. Cet ouvrage inédit en papier glacé et de 205 pages, agrémentées de photos et de cartes est à mettre entre toutes les mains.
Al-Muwatta’ de l’Imam Mâlik Ibn Anas – Français-Arabe – 2 Volumes – Al Bayyinah
Version de Yahyâ Ibn Yahyâ al-Laythî
Présentation, traduction et notes par Mohammed KARIMI
Force est de constater que de nombreux musulmans et à fortiori les non musulmans , ignorent encore le sens profond des mots suivants : « J’atteste que Mohamed (pais et bénédiction sur lui) est l’envoyé d’Allah». Ce bilan découle de l’observation de différents actes ou paroles, répandus parmi les musulmans; Soit ces actes et ces paroles ne sont pas en parfaite conformité avec l’esprit de l’attestation, ou pire encore, ils sont purement et simplement en contradiction avec sa signification exacte et de ce fait peuvent avoir un impact non négligeable sur le dogme de nombreux musulmans et sur la validité de leur foi.
Le livre « Oumdat al Fiqh » de l'imam Muwaffaq Ad-Dîn Ibn Qudamah al-Maqdisî (mort en 620H.) est un épître important dans la jurisprudence hanbalite, dans lequel l'auteur s'est cantonné uniquement sur les avis fondés du madhab, qu'il à formulé de manière simple et aisé qui aident l'étudiant à l'étudier et à le mémoriser. Ce livre regroupe les chapitres de la purification, de la prière, des rites funéraires, de la zakat, du jeûne et du Hajj et la Omra.
L'éducation est un aspect important dans notre religion, pour ne pas dire le plus important ; elle est le fondement, la base même sur laquelle notre communauté va se reposer pour se constituer et se reconstituer, par la transmission de nos valeurs et nos principes aux générations à venir.
Aperçu de la méditation en islam dont les deux sources fondamentales sont le Coran et la tradition prophétique (Sunna). Avec des exemples de méditations faites en 1977 et 1978 par l'auteur sur divers sujets : Dieu, le Coran, l'homme et la société, la purification...
L'auteur, Shams ad-dîn Muhammad Ibn Ahmed Ibn Uthmân le shâfiite, est connu sous le nom de Dhahabî. Il est né à Damas en l'an 673 hégire (1274 JC). Il a suivi l'enseignement d'illustres savants du Shâm (grande Syrie), d'Egypte et du Hijâz..
<< Ils t’interrogent (ô Muhammad, qu’Allah le bénisse et le salue) au sujet de l’Heure : « Quand va-t-elle jeter l’ancre ? Quelle [science] en as-tu pour le leur dire ? Son terme n’est connu que de ton Seigneur ». Tu (ô Muhammad, qu’Allah le bénisse et le salue) n’es que l’avertisseur de celui qui la redoute. Le jour où ils la verront, il leur semblera n’avoir demeuré qu’un soir ou un matin. >> (Coran S79, V42-46)
Avec près de deux mille cinq cents articles, les « Merveilles de l’interprétation des rêves » donnent au lecteur des clefs pour la compréhension du vaste monde qu’est celui du rêve...
Abou Ja’far Mohammad ibn Jarîr Ibn Yazid Tabarî est le premier musulman qui ait composé une chronique générale. Né en 224 de l’Hégire (838-839 ap. J.C.) il passa la plus grande partie de sa vie à Bagdad.
Quelques années avant sa mort, il composa sa volumineuse chronique, qui embrasse l’histoire du monde depuis la création jusqu’à l’an 302 de l’Hégire. Cet ouvrage acquit de bonne heure une grande réputation dans le monde musulman. Vers 352 de l’Hégire (963 ap. J.C.).
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